Journée Coréenne à L’Ecole Hôtelière de Monastir le 6 mai

Point de passage entre la Chine et le Japon, la Corée, surnommée le « Pays du matin calme » est un summum des arts.

Soit qu’on parle de la culture gastronomique ou bien des traditions de la calligraphie, de la musique, de la peinture ou bien de la poterie, la Corée représente toute une histoire.

L’Ecole Hôtelière de Monastir en partenariat avec L’Agence de Coopération Internationale de la Corée (KOICA) mettent en valeur ce riche patrimoine en organisant à l’Ecole Hôtelière de Monastir la Journée Coréenne le 6 mai de 14h à 16h . Deux heures de voyage lointain animé par les volontaires coréens, pour découvrir l’art et le design, la cuisine, les tenues traditionnelles avec prise de photos, la calligraphie et une projection vidéo et son de la culture coréenne. 

Calligraphie coréenne, l’élégance des lettres

Avec une tradition qui date depuis 1443, la calligraphie coréenne représente la culture nationale et se remarque par la féminité de l’écriture. 

La cuisine coréenne, un répertoire unique

La gastronomie coréenne partage beaucoup de points communs avec celle tunisienne. L’utilisation de l’ail (les coréens sont pourtant les plus grands consommateurs de l’ail au monde), du piment fort et des fruits de mer. La Corée se distingue par la variété et la qualité de sa cuisine, élaborée, créative et complexe, avec des origines mongoles mais qui garde une identité unique. Il ne faut pas aussi oublier aussi la tradition ancestrale du culte du thé qui date depuis 661. Toute une étiquette a été préservée durant des milliers d’années autour de « darye » la cérémonie coréenne du thé. Ca rappelle que les tunisiens aussi sont attachés à la consommation du thé mais dans une manière qui reste spécifique pour l’Afrique du Nord. 

Habits traditionnels, le Hanbok à l’honneur  

La tradition de l’habit traditionnel coréen existe depuis des milliers d’années (37 av. J.C) mais c’est à partir de la dynastie de Joseon, au XVIème siècle que le hanbok est devenu un vrai phénomène social avec sa mise en valeur par les dames de la cour royale. Il faut noter pourtant que le hanbok est porté de manière générale tant par les femmes qu’autant par les hommes mais que durant le temps il a changé pour s’adapter à la vie moderne.  

Cet événement représente encore une preuve qu’à L’Ecole Hôtelière de Monastir de belles choses se passent comme on le mentionnait dans un article précédant sur l’atelier animé par le seul artiste carving en Tunisie