Y' a-t-il des situations ou des moments où l'emploi de la violence est légitime voire même nécessaire?
La violence est-elle tout simplement l'usage de la force?
A quelles conditions peut-on appeler certains actes violents et autres non?
Et enfin doit-on l'accepter non seulement comme réalité (on reproche parfois à cette dernière d'être très violente) mais comme un idéal à atteindre?
Après avoir fais une petite recherche dans l'archive du forum j'ai constaté qu'on a seulement aborder la violence dans ses manifestations conjugales ou entre homme et femme ou qu'on l'a touché à travers des paramètres psychologiques telles que "l'agressivité" en sa relation avec le "self control" donc en tant que comportement individuel.
je trouve ce qui a été dit là est très instructif et qu'il peut nous fournir une base sérieuse pour réfléchir à la violence, c'est pourquoi je vous renvoie à ce topic:
Mais en plus de cela je vous propose une définition du "violent" qui peut bien baliser notre terrain :
A. Qui s'impose à un être contrairement à sa nature : " Mouvement violent" (...)
B. Qui s'exerce avec une force impétueuse contre ce qui lui fait obstacle : " Vent violent" - "Choc violent", "Violente explosion"
C. En parlant des sentiments ou des actes : mêmes caractères, auxquels se joint presque toujours l'idée qu'il s'agit d'impulsions échappant à la volonté : " Passion violente" - "Violent désir"(...)
D. En parlant d'une personne (ou de son caractère) : celle qui se comporte d'une manière violente, au sens B, contre ce qui lui résiste.
E. Qui présente un caractère de violence, au sens E. - " Celui qui travaille pour la justice, travaille pour tous, tandis que les violents ne travaillent que pour eux-mêmes, et quelquefois, au bout du compte, contre eux-mêmes. " G. BELOT, La conscience française et la guerre, p. 52-53. Cet emploi est rare.
La violence est-elle tout simplement l'usage de la force?
A quelles conditions peut-on appeler certains actes violents et autres non?
Et enfin doit-on l'accepter non seulement comme réalité (on reproche parfois à cette dernière d'être très violente) mais comme un idéal à atteindre?
Après avoir fais une petite recherche dans l'archive du forum j'ai constaté qu'on a seulement aborder la violence dans ses manifestations conjugales ou entre homme et femme ou qu'on l'a touché à travers des paramètres psychologiques telles que "l'agressivité" en sa relation avec le "self control" donc en tant que comportement individuel.
je trouve ce qui a été dit là est très instructif et qu'il peut nous fournir une base sérieuse pour réfléchir à la violence, c'est pourquoi je vous renvoie à ce topic:
Mais en plus de cela je vous propose une définition du "violent" qui peut bien baliser notre terrain :
A. Qui s'impose à un être contrairement à sa nature : " Mouvement violent" (...)
B. Qui s'exerce avec une force impétueuse contre ce qui lui fait obstacle : " Vent violent" - "Choc violent", "Violente explosion"
C. En parlant des sentiments ou des actes : mêmes caractères, auxquels se joint presque toujours l'idée qu'il s'agit d'impulsions échappant à la volonté : " Passion violente" - "Violent désir"(...)
D. En parlant d'une personne (ou de son caractère) : celle qui se comporte d'une manière violente, au sens B, contre ce qui lui résiste.
E. Qui présente un caractère de violence, au sens E. - " Celui qui travaille pour la justice, travaille pour tous, tandis que les violents ne travaillent que pour eux-mêmes, et quelquefois, au bout du compte, contre eux-mêmes. " G. BELOT, La conscience française et la guerre, p. 52-53. Cet emploi est rare.
A. Lalande "Vocabulaire technique et critique de la philosophie"
Alors réfléchissons sur la question dans le calme et exposons clairement nos idées en ayant soin de bien les expliquer.
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