L’Huile d’olive bien efficace
Plusieurs études en épidémiologie ont révélé que la fréquence du cancer du sein est moindre dans les pays du sud de l’Europe.
Il s’agit surtout des pays méditerranéens. A un certain moment, scientifiquement parlant, personne n’y comprenait quelque chose.
Dernièrement, un groupe de chercheurs américains de la North westen University’s Feinberg School, à Chicago, a pu soumettre une hypothèse très rationnelle.
Dirigée par le Dr Javier Menondez, l’équipe a fait des travaux de recherche très approfondis qui ont étayé la thèse de l’huile d’olive.
Les conséquences thérapeutiques de ces travaux seraient rapides et salutaires pour les patients à risque. Un gène, le her-2/Nen, est anormalement activé chez un malade sur cinq et «produit alors de grandes quantités d’une protéine favorisant le développement du cancer et rendant les tumeurs très agressives avec une forte tendance à métastaser, affirment les cancérologues américains.
Un anticorps qui a été créé en laboratoire, le trantuzumab «améliore très significativement la survie des patientes concernées» ajoutent-ils.
Rappelons que les chercheurs de Chicago ont exécuté leurs travaux en laboratoire sur des lignées cellulaires de cancer du sein avec un gène Her 2-Nen «anormalement activé». La remarque est ainsi établie : «Alors que l’activité de ce gène est réduite de 48 % avec cet anticorps, elle est réduite de 46 % avec l’huile d’olive seule, sous réserve qu’elle soit riche en acide oléïque.
Mieux encore : quand les deux composants sont associés, l’inhibition du gène atteint 70%!».
C’est que l’acide oléïque, qui est un acide gras «monoinsaturé» bien connu, est le principal composé pouvant amplifier les effets du trastuzunab.
La première conclusion coule donc, de source : «l’huile d’olive n’est pas toxique, à la différence du médicament».
Une nouvelle stratégie, inoffensive, associant une supplémentation en acide oléïque à l’anticorps est en cours de gestation.
Enfin, la nature est bien aux postes de commandement pour solutionner nos problèmes de santé, et avec quelle efficacité !
Il s’agit surtout des pays méditerranéens. A un certain moment, scientifiquement parlant, personne n’y comprenait quelque chose.
Dernièrement, un groupe de chercheurs américains de la North westen University’s Feinberg School, à Chicago, a pu soumettre une hypothèse très rationnelle.
Dirigée par le Dr Javier Menondez, l’équipe a fait des travaux de recherche très approfondis qui ont étayé la thèse de l’huile d’olive.
Les conséquences thérapeutiques de ces travaux seraient rapides et salutaires pour les patients à risque. Un gène, le her-2/Nen, est anormalement activé chez un malade sur cinq et «produit alors de grandes quantités d’une protéine favorisant le développement du cancer et rendant les tumeurs très agressives avec une forte tendance à métastaser, affirment les cancérologues américains.
Un anticorps qui a été créé en laboratoire, le trantuzumab «améliore très significativement la survie des patientes concernées» ajoutent-ils.
Rappelons que les chercheurs de Chicago ont exécuté leurs travaux en laboratoire sur des lignées cellulaires de cancer du sein avec un gène Her 2-Nen «anormalement activé». La remarque est ainsi établie : «Alors que l’activité de ce gène est réduite de 48 % avec cet anticorps, elle est réduite de 46 % avec l’huile d’olive seule, sous réserve qu’elle soit riche en acide oléïque.
Mieux encore : quand les deux composants sont associés, l’inhibition du gène atteint 70%!».
C’est que l’acide oléïque, qui est un acide gras «monoinsaturé» bien connu, est le principal composé pouvant amplifier les effets du trastuzunab.
La première conclusion coule donc, de source : «l’huile d’olive n’est pas toxique, à la différence du médicament».
Une nouvelle stratégie, inoffensive, associant une supplémentation en acide oléïque à l’anticorps est en cours de gestation.
Enfin, la nature est bien aux postes de commandement pour solutionner nos problèmes de santé, et avec quelle efficacité !
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