Dans un monde qui se fait de plus en plus petit, où Est et Ouest, Nord et Sud ne se séparent que par un clique, où tous sommes de plus en plus proches les uns des autres, oh wi malgrès toutes les différences apparentes et les divergences qu'on croit avoir nous sommes proche les uns des autres plus que nous ne l'avons jamais été, les distances entre un pays et un autre, entre une culture et une autre meme si elles sont toujours mesurées en KM et en Miles et que mathématiquement parlant elles restent inchangées, ne sont plus les memes elles sont plus courte voire infinitisimalement courte au point de ne plus exister. Malgrès tout ça l'Homme se sent de plus en plus seul, trop seul, terriblement seul je dirai.
Un besoins inexplicable pour certains, naturel pour d'autres, s'empare de lui, un besoins nommé appartenance, appartenir à une famille, à une communauté, à une société, à une culture, à un pays, à une idée, à un continent, peu importe l'objet ou l'entité d'appartenance recherchée l'important c'est d'appartenir. Oubliez maslow et sa pyramide pour un instant!
Je ne discuterai pas le besoins d'appartenance, mais une chose qui va au-delà de l'appartenance, l'éffacement personnel, l'appartenance ne signifie pas effacement et effacement ne signifie pas appartenance, alors pourquoi on s'efface pourvue qu'on nous accepte? Pourquoi on ne prend meme pas la peine d'essayer d'appartenir tout en restant différent? Pourquoi l'integrité personnelle n'a plus de valeur ou presque (pour rester politiquement correcte)? Tous sommes différents les uns des autres, l'homogénéité dans l'appartenance ne signifie pas similitude absolue.
L'appartenance a prit une nouvelle signification; faire partie du lot, peu importe le lot, généralement on cherche le plus proche (pas dans le sens strictement mathématique) ou le plus accessible, faux sentiment de sécurité, ça rappelle les grandes "communautés" de Gnou ou on est en plusieurs dizaines de milliers mais que lors d'un danger, attaque de qlqs prédateurs par exemple, chacun met sa queue entre ses jambes et ne se retourne meme pas en arrière, contrairement aux toutes petites "communautés" (restantes) de Bison qui, peu importe le danger, se serrent et forme un seul bouclier pour protéger les plus faibles d'entre eux. Tout en étant conscient que ce lot n'offre aucunement cette sécurité, l'Homme ne pensera nullement à la quitter ou du moins à garder son intégrité.
Sortir du lot, là n'est pas la question, on nait tous en ayant une ou plusieurs appartenances, et un jour ou l'autre on cherchera à renforcer les liens avec certaines et/ou sentir le besoins de couper les liens avec d'autres.
Un jour j'avais essayé de parler de courage, et là je crois que c'est bien de courage que je parle meme si l'idée de départ était toute autre.
Un besoins inexplicable pour certains, naturel pour d'autres, s'empare de lui, un besoins nommé appartenance, appartenir à une famille, à une communauté, à une société, à une culture, à un pays, à une idée, à un continent, peu importe l'objet ou l'entité d'appartenance recherchée l'important c'est d'appartenir. Oubliez maslow et sa pyramide pour un instant!
Je ne discuterai pas le besoins d'appartenance, mais une chose qui va au-delà de l'appartenance, l'éffacement personnel, l'appartenance ne signifie pas effacement et effacement ne signifie pas appartenance, alors pourquoi on s'efface pourvue qu'on nous accepte? Pourquoi on ne prend meme pas la peine d'essayer d'appartenir tout en restant différent? Pourquoi l'integrité personnelle n'a plus de valeur ou presque (pour rester politiquement correcte)? Tous sommes différents les uns des autres, l'homogénéité dans l'appartenance ne signifie pas similitude absolue.
L'appartenance a prit une nouvelle signification; faire partie du lot, peu importe le lot, généralement on cherche le plus proche (pas dans le sens strictement mathématique) ou le plus accessible, faux sentiment de sécurité, ça rappelle les grandes "communautés" de Gnou ou on est en plusieurs dizaines de milliers mais que lors d'un danger, attaque de qlqs prédateurs par exemple, chacun met sa queue entre ses jambes et ne se retourne meme pas en arrière, contrairement aux toutes petites "communautés" (restantes) de Bison qui, peu importe le danger, se serrent et forme un seul bouclier pour protéger les plus faibles d'entre eux. Tout en étant conscient que ce lot n'offre aucunement cette sécurité, l'Homme ne pensera nullement à la quitter ou du moins à garder son intégrité.
Sortir du lot, là n'est pas la question, on nait tous en ayant une ou plusieurs appartenances, et un jour ou l'autre on cherchera à renforcer les liens avec certaines et/ou sentir le besoins de couper les liens avec d'autres.
Un jour j'avais essayé de parler de courage, et là je crois que c'est bien de courage que je parle meme si l'idée de départ était toute autre.
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